INFORMATIONS PERSONELLES
Salut! Je m'appelle Pavel Ivanov. Quelqu'un est vraiment intéressé?
Formellement, le nom se rapporte à une personne, homme, né à l'URSS en 1958.
Après une vie longue et turbulente, il s'est enlisé en la Fédération Russe fraîchement formé, ou il va selon toute probabilité expirer (si pas encore).
Parmi ses antécédents, on trouve deux ans d'études à l'école #165 à Novosibirsk, qui a toujours été une pépinière de futures physiciens, mathématiciens, chimistes, biologistes et ingénieurs.
biologists and engineers.
Plus tard, ayant travaillé pour quelques temps comme charpentier à Chukotka, il faisait ses études à l'Université de Moscou , Département de Physique. Malheureusement, une réorganisation intérieur du Département lui a empêché d'accomplir son rêve adolescente d'étudier la physique de l'éspace-temps, et il lui a fallu de s'aiguiller à la physique atomique pour achever son diplôme.
Ensuite, aprés une Bourse de thèse à l'Institut de Spectroscopie d'Académie de Sciences de l'URSS, il travaillait comme physicien à Troitsk, région de Moscou (aujourd'hui inclus dans Moscou).
En 1989, il fut conféré un grade de Kandidat en mathématique et physique (l'ancien analogue soviétique de PhD) pour ses recherches dans la physique des états autoionisants en atomes et ions.
A fin de gagner la vie dans les conditions du pays dévasté par le capitalisme sauvage sur l'espace postsoviétique, il dut abandonner la physique pour une carrière de programmeur et gestionnaire d'informatique.
Il contribuait à les activités du Centre Internationale de la Science et la Technologie (ISTC) des que le projet fut lancé en 1994 et jusqu'à son fermeture complète en 2012.
Plus tard, il était Chef du Département Informatique d'une société internationale.
Bien sûr, comme tous les malheureux habitants de Russie, il voudrait bien tout changer pour n'importe quoi dans un pays plus civilisé.
Ma sphère d'intérêts est assez large. Des arts, des sciences, des philosophies...
La beauté dans toutes ses formes et manifestations. Chaque rayon de la pensée de la raison.
Pourtant, je n'a jamais été assez doué pour produire une chose considérable.
C'est pourquoi je me suis limité au collectionnement, et ce site a d'abord été conçu comme une espace à convenablement garder mes trouvailles.
Paul Jones (qui se cache souvent sous l'abréviation P.J.) a été le premier de s'y loger.
Un philosophe et critiqueur, le fondateur de l'unisme, une doctrine universelle basé sur le principe de l'intégrité du monde.
C'est devenu la destination primaire de ce site, qui présente à la publique des contributeurs principaux à cette nouvelle attitude au monde
que j'ai, d'une façon maladroite, nommé l'approche hiérarchique : Léonide Avdéév, Vladimir Korén et autres. Pour quelques raisons,
ces gens là ne pouvait toujours publier ces textes leurs mêmes, et il fallait attribuer leurs idées à moi.
L'histoire va me pardonner cette petite fraude, si les grandes idées continuent par cela.
Plus tard, on a fourni une section de Meraïlih. En possédant une collection la plus complète de ces œuvres,
j'ai créé une sorte de site officiel. Il ne se présentait pas ordinairement sur le Web, donc je devais parler aux gens à sa part.
C'est pourquoi on nous confond souvent ; mais nous sommes très différents, et c'est seulement la vieille connaissance qui nous lie, et l'amour de la poésie.
J'ai aussi ouvert un site dédié à l'art et la philosophie de Guy Levrier.
C'est un phénomène unique en l'art, et un grand homme qui a quatre fois réussi à vaincre la mort par la puissance de son esprit créatif.
Un site séparé contient des matériaux assortis sur Maria Alexandrova. C'était une danseuse magnifique à Théâtre Bolchoï à Moscou.
Dès les premières années de ma présence dans le Web, un site spécial était dédié à mon amour Éléna (Hélène).
Elle était une beauté parfaite aussi qu'un âme le plus sublime de tous qui a jamais venu à l'existence.
Elle a donné un modèle de l'intégrité incroyable de la nature, de l'unité de la pensée, le sentiment et l'action.
Elle n'a laissé une seule trace à l'Internet ; elle choisissait toujours de ne pas laisser des traces.
Mais toute sa vie défiait la matière inerte, en étant un hymne à la raison humaine, la proclamation de l'amour et la beauté.
Sans elle, rien ne serait arrivé.