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Non-dissémination de la dominance

Les débats sur les victimes innocentes des bombardiers américaines à Iraq, seraient-ils sanctionnées par ONU, ou la sanction seule des fonctionnaires militaires des Etats-Unis bien suffirait, a été un excellent exemple de la nature hypocrite de la légalité bourgeoise. Toute loi serve aux intérêts de ceux au pouvoir contre ceux qui sont en misère. Les classes dirigeantes dictent les règles au monde qu'elles exploitent et pilent. En échelle globale, cela mène à la distinction des pays qui ont du droit et ceux qui doivent obéir les ordres. Le droit international en toute sa totalité n'est qu'un déguisement de ce simple principe.

Mais comment peut-il être qu'un pays prescrive les formes de gouvernement aux autres ? Pourquoi un pays doit-il être concerné du nom du président d'un autre pays, ou le travail de ces média? Et, bien sûr, dans le monde d'égalité globale, chaque pays déciderait il-même sur lesquels recherches scientifiques et technologiques il choisirait à supporter, et avec lesquels armes il équiperait son armée.

Même si Iraq, ou Corée du Nord, aurait les armes nucléaires, personne n'a aucun droit à le leur défendre. On a bien de raisons à admettre que, pour des pays pareils, ce soit la seule possibilité de prévenir l'agression du dehors. Si Cuba, par exemple, a jadis installé des missiles nucléaires pointé aux Etats-Unis, c'est parfaitement justifié par son exposition évidente au militarisme américaine. Les Etats-Unis, OTAN, ou l'ONU, ont une habitude étrange de décider qui va être donne le privilège de la sécurité nationale et qui va toujours rester en risque de l'irruption. Mais où est le plus grand danger ? Regardez aux Etats-Unis. Ils ont toutes sortes d'armes, les armes de destruction massive inclus. Cette nation s'est élevée sur le culte de la force brutale, de la violence et du meurtre ; l'agression est dans le sang de ses citoyens. Ils peuvent sans moindre hésitation sacrifier quelques milles de vies pour obtenir un prétexte pour la guerre globale pour la dominance absolue ; la démolition des tours jumelles à New York peut bien être une provocation monstrueuse du CIA (jusqu'a présent on n'a présenté aucune autre indication).

Il est vrai qu'il y a millions d'américaines qui sont contre toute guerre, dans le fond de son cœur. Mais ils voteront docilement pour la guerre, ils aussi, sous la pression sociale. Ils ne peuvent pas se figurer une autre nation à avoir le droit d'être si indépendante et si puissante. Toute prétention comme ça sera immédiatement interprétée comme une menace à la securite nationale des Etats-Unis et ses intérêts globaux. Mais l'idée même des intérêts globaux est déjà une agression, une aspiration à la dominance dans le monde. Qu'on pense mieux à soi-même, et laisse les autres à régler leurs propres affaires ils-même !

Jusqu'à récemment, les américaines pouvaient confortablement adhérer à la politique désastreuse pareille, parce que les Etats-Unis ne savaient jamais aucune menace réelle de côté d'aucune force globale. Aujourd'hui, dans l'ère de la globalisation, aucun pays ne peut être immun, avec toute sa puissance économique ou militaire. Dévastation de Grenada, de Liban, de Libye, de Serbie, d'Afghanistan, et de plusieurs autres pays, va retourner par des coups vigoureux sur l'infrastructure de base de l'économie des Etats-Unis, par la terreur massive utilisant tous moyens, les armes biologiques et chimiques inclus, aussi que terrorisme cybernétique. Un pays qui veut être le maître du monde entier, qui peut soumettre les autres nations à ses intérêts économiques et politiques, doit se préparer à une résistance aussi globale, et à périr en ruines ; c'est le destin de tous les empires.

Ne crache pas sur le monde ; autrement le monde va cracher sur toi, et tu va te noyer.

Mais ce ne sera pas le monde divisé en des nombreuses nations qui compète un avec l'autre pour un morceau du monopole et de la suprématie éphémère. Ce sera le monde de ceux qui ne veulent pas d'être exploités et qui ne veulent pas d'exploiter les autres. Objectivement, la formation de superpuissances aspirant à établir leur dominance globale mène à la consolidation de toutes les nations exploitées, et les frontières entre les pays différents et leurs cultures sont également effacés grâce aux efforts du capitalisme global essayant à usurper la dictature du monde, et du mouvement anti-impérialiste global uni en face du puissant ennemi. Un jour, le système économique du capitalisme deviendra absolument incompatible avec l'économie mondiale, et les superpuissances, en essayant à dévorer le monde entier, vont crever de sa gloutonnerie.


[Observations assorties] [Unisme]