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La vraie figure de la charité

Le phénomène de la charité est une des manifestations subjectives les plus odieuses de l'organisation de la société moderne qui est divisée en des classes opposées et entièrement fondé en l'inégalité économique et sociale. Les riches aiment parler de combien d'argent ils dépensent sur toutes sortes de charité, en essayant le présenter comme une indication de leur générosité, humanisme et responsabilité sociale. Et la presse bourgeoise est toujours prête à chanter des bons gens qui se soucient tant de leurs voisins qui, par une conjoncture étrange, se sont trouvés en misère ou souffrant d'un défaut du corps. En fait, la charité n'est qu'une hypocrisie, un maquillage sur le visage monstrueux du capitalisme.

Tout d'abord, la charité n'a rien à faire avec philanthropie, ce n'est qu'une sorte de business. Les conséquences de chaque don sont bien calculé, et l'activité de fond pour établir les règles du jeu qui augmenteraient maximalement les profits a il y a longtemps devenu un complément caché de la miséricorde démonstrative.

Encore un aspect du même : plus de charité, plu d'exploitation. Les riches ne donnent jamais rien qui les actuellement appartiendrait ; ile paient toujours du poche d'un autre. Pour céder 1000€ aux pauvres, ils vont enlever un centime à chacun d'un million des autres pauvres, en gagnant ainsi dix mille euro, le profit net étant 9000€. Mais ces chiffres ne sont qu'illustratifs, tandis que la vraie proportion est probablement encore plus favorisante les intérêts des riches.

Le même s'adresse la charité du niveau international, y compris toutes sortes de l'assistance économique, des subventions, ou de l'aide humanitaire. Les activités d'A. Hammer et G. Soros peuvent servir comme des exemples très illustratifs. Outre les profits directs, l'idée générale de la charité internationale est de réorienter l'économie des pays bénéficiaires vers la direction spécifique de développement, pour les faire dépendre des produits et des investissements de leurs partenaires plus riches.

Il y a aussi un aspect subjectif de la conscience inquiète. Un bourgeois comprend souvent que leurs richesses ont été gagnées par des moyens injustes, en dépouillant beaucoup de gens de ce qu'il les réellement faut. Parfois, les cercles dirigeants ont à se défendre contre des accusations publiques de cette sorte ; c'est pourquoi les riches se sentent plus sûrs avec une couple de cas pittoresques de charité dans la poche. Des " contre-exemples " comme ça sont leur seul arm en leur lutte spirituelle contre leur mêmes.

Mais une comparaison tout simple des styles de la vie menée par les riches et les pauvres révèle l'inconsistance accomplie de ces excuses. On voit qu'un russe nouveau peut dépenser pendant une semaine de séjour quelque part au Hawaii une somme qui serait assez pour complètement supporter mille russes ordinaires pour plusieurs années. Une robe de soir d'une millionnaire peut coûter le prix de vêtements régulières de cent personnes, ou plus. Un seul diner à un restaurant de prestige va peser plus qu'annuels coûts d'alimentation du pauvre. Y a-t-il un riche qui déciderait à mener la vie jamais meilleur que la vie de ceux à qui on se vante tant d'aider ?

Des actions et campagnes variées sont la sorte la plus méprisable de charité. Quand plusieurs millionnaires s'amusent " dans les intérêts des pauvres ", quand on gaspille son argent à l'encan ou à un bal de bienfaisance, sous la garniture des contes de ce qu'on va dépenser tous les " versements " sur l'aide aux pauvres, il n'y a que seule question : pourquoi ? Avait-on réellement le besoin de gaspiller des sommes énormes sur leurs divertissements, en payant aussi à ses organisateurs ? Ne serait-il pas beaucoup de mieux, collecter tout simplement l'argent et le remettre aux pauvres, sans tout cet entourage ? Et encore mieux, on pourrait investir cet argent à la construction d'un système social qui serait libre de la distinction même des riches et des pauvres.

Parfois, quelqu'un parmi les riches voudrait sincèrement d'être utile aux autres. Mais l'organisation même de la société capitaliste va protéger ces bons contre ce qu'ils deviennent trop généreux et désintéressés. On a des norme sociales bien rigides qui dirigent le comportement des représentants des classes différentes, et chaque déviations du style " accepté " de la vie sera punie par une sorte d'ostracisme de caste, qui peut ruiner le bien-être du violateur, en faisant ainsi le suite de la philanthropie économiquement impossible. Les capitalistes doivent agir comme des capitalistes, pour rester capitalistes, c'est ça. C'est seulement avec une réorganisation complète du système social qu'on peut rendre la pauvreté une réminiscence du passé, en éliminant le même mot " charité " des vocabulaires du monde.


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